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2024-02-12 / Louise
Certaines habitudes quotidiennes et anodines comme regarder Netflix ou envoyer des e-mails peuvent sembler immatérielles, mais nécessitent en réalité une importante consommation d’énergie numérique. Celle-ci contribue notamment au changement climatique. Heureusement, il existe des solutions !
La pollution numérique englobe l’impact environnemental du numérique dans son ensemble, depuis la fabrication des équipements tels que les ordinateurs et les smartphones jusqu’à leur élimination, en passant par les activités des utilisateurs. Cette pollution présente à la fois une dimension physique et virtuelle. Difficile à matérialiser n’est-ce-pas ? Imaginez une voiture : sa fabrication génère de la pollution, tout comme les émissions de CO2 qu’elle produit tout au long de son utilisation. De même, les appareils numériques comme les téléphones portables ou les ordinateurs contribuent à la pollution environnementale, même s’ils ne génèrent pas de fumée visible.
Selon l’ADEME, la pollution numérique représente actuellement 4% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, et ce chiffre risque de doubler d’ici 2025. Bien que le numérique facilite les échanges et la communication instantanée, il entraîne également un coût énergétique élevé et une empreinte carbone accrue, impactant notre environnement.
Parmi les responsables de cette pollution numérique, voici les principaux coupables :
Ces centres de stockage voient leur consommation énergétique augmenter avec la croissance des données collectées (big data). Certaines entreprises tentent de réduire leur impact en alimentant leurs data centers avec des énergies renouvelables.
La phase de fabrication des appareils numériques est plus énergivore que leur utilisation et génère une quantité importante de CO2. La fabrication des composants en Chine ou en Corée, où l’électricité provient souvent du charbon, contribue considérablement au changement climatique. De plus, le transport en avion aggrave la pollution. Par exemple, la fabrication d’un ordinateur de 2 kg mobilise 800 kg de matières premières et génère 124 kg de CO2, sur les 169 kg émis pendant son cycle de vie complet. En moyenne, il faut mobiliser de 50 à 350 fois leur poids en matières pour produire des appareils électriques à forte composante électronique. Ces processus de fabrication contribuent à l’épuisement des ressources, ainsi qu’à la pollution de l’air, de l’eau et des sols.
La vidéo en ligne est responsable de 306 millions de tonnes de CO2 par an, avec 60% du trafic de données internet consacré à son visionnage. Outre Netflix et YouTube, d’autres acteurs contribuent également à cette empreinte carbone :
En 2019, le “e-waste” a atteint 53,6 millions de tonnes à l’échelle mondiale, une augmentation de 21% en seulement 5 ans, la plupart étant envoyée dans des décharges sans être recyclée. Selon les estimations, d’ici 2030, nous devrions arriver à un total annuel de 75 millions de tonnes…
Oui, il existe des astuces pour réduire notre pollution numérique et adopter une approche de sobriété numérique. Voici quelques solutions simples à mettre en œuvre au quotidien :
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